Avant-propos
Cette page constitue l’ébauche d’un dossier qui se complétera au fur et à mesure de nos publications.
La première partie est une brève introduction de la thématique abordée.
Puis s’ensuit une liste des articles publiés sur francebikepacking.com traitant du sujet, complétée avec des ressources extérieures pertinentes.
Bonne lecture et bonne aventure !



Certains préfèrent avoir un GPS en plus d’un smartphone. D’autres se contentent d’utiliser seulement leur smartphone. Quand un petit nombre d’irréductibles reste sur l’usage exclusif des cartes… « C’est vous qui voyez ! » Mais il est généralement de bon usage d’emporter au moins deux moyens de navigation différents. Si l’un est inutilisable, l’autre être fonctionnel (sauf grosse guigne!).
GPS
Léger et très économe en batterie, tu ne te perdras jamais ! Tu peux y charger les traces partagées par d’autres utilisateurs. La communauté bikepacking a ça d’extraordinaire, la mise à disposition par beaucoup de leurs plus belles traces ! Vous pouvez en télécharger sur Utagawavtt, ViewRanger, RidewithGPS
Peu s’avérer délicat à utiliser pour les non-initiés.
Marques: Wahoo, Garmin
Smartphone
Nombreuses sont les applications (iOS ou Android) qui vous permettent de suivre votre progression. Elles fonctionnent comme un GPS dédié. Vous pouvez donc y ajouter vos propres tracés ou ceux d’autres bikepackers.
Elles peuvent avoir tendance à drainer l’autonomie de ton smartphone (prévoyez une batterie externe) mais elles sont en général utilisables avec le téléphone en mode avion (ce qui économisera votre batterie).
En plus de la batterie, un autre point sur lequel s’attarder est la résistance aux éléments. Et je ne parle juste de la résistance à l’eau mais aussi de la résistance à la poussière et aux secousses.
Les applications: Komoot, Gaia, OpenRunner
Les cartes
Bien entendu les cartes ne sont pas la solution optimale lorsqu’on cherche à voyager léger. Mais peu importe, on a tous nos contradictions et nos petits péché-mignons!
J’ai croisé bon nombres de voyageurs à vélo qui ne juraient que par l’utilisation des cartes car ils avaient toujours voyagé de la sorte et n’avaient jamais vraiment cherché à utiliser autres choses.
Il faut cela dit préciser que lorsqu’on voyage sur route, c’est plus facile de transporter des cartes car ayant besoin de moins de précisions topographiques, au contraire d’un voyage sur sentiers, on peut se permettre des cartes aux échelles plus grandes.
Si tu décides d’en emporter, assure-toi quand même de pouvoir t’y repérer facilement. Ce n’est pas chose aisée! Beaucoup de cartes dédiées pour la rando sont maintenant résistantes à la pluie.
Les cartes sont quand même bien pratiques, lorsqu’on planifie notre itinéraire, étalées sur une grande table pour avoir une vision globale de la route. Ce qui n’est pas forcément évident lorsqu’on fait ça sur écran.
Et toi, quel outil utilises-tu pour naviguer durant tes voyages à vélo? Partage-nous ça en commentaires !